samedi 29 septembre 2007

Fable urbaine (suite)

Rubrique : carnet rose

Ainsi que je le signalais le 19 juin dernier, le troisième aide jardinier est jument de son état...

Hier, elle était remplacée par un petit cheval mordoré, fort justement appelé "Dorado".

Devant mon étonnement, on m'a expliqué que ce n'était que provisoire : Ainha ne va pas tarder à pouliner....

Il n'a pas été précisé qui était le père : peut-être "Dorado" ?
Quelques arbres...

Pirenopolis

Goias Velho
flamboyant

Goiânia
Praça Duque de Caixas
(ipé blanc)

Goiânia
Bosque Buritis
(ipé jaune)


Dans notre rue
(sibipiruna)

mardi 25 septembre 2007

Photographié en allant chercher ce matin un ami à l'aéroport, j'ignore le nom de ce bel arbre. Je l'avais déjà repéré en septembre dernier et je m'étais promis de ne pas le rater cette année...

Vernissage à l’Université ALFA

La semaine dernière, présentation à l’Université Alfa d’une exposition sur une dizaine de peintres paysagistes nés ou demeurant à Goiânia. A cette occasion, un magnifique livre a été édité à 1.000 exemplaires, édité et financé par la Faculté.

Située aux confins de la périphérie nord de la ville, cette énorme faculté privée a été ouverte en 2000. L'un des financiers serait la multinationale Coca-Cola. Plus de 3.000 élèves sont inscrits et planchent pour obtenir une des 11 maîtrises qui leur sont proposées, et qui leur permettra de s’insérer dans le monde de la finance et des affaires..

La pépinière de Coca-Cola, en quelque sorte !!!

Nota. La loi brésilienne oblige les universités privées (très onéreuses) à intégrer un pourcentage (20 %, nous a-t-on dit) de boursiers issus de milieux plus modestes…

dimanche 23 septembre 2007


Dirso José de Oliveira, dit "DJ OLIVEIRA".
(1932/2005).
Fim de tarde em Campinas de Goiânia

Le peintre, Carlos César da Cruz, dit "Dacruz" avec des élèves-visiteurs bien attentifs...

jeudi 20 septembre 2007

Les bureaux du « Diario da Manha », l’un des deux grands quotidiens de Goiânia, sont nichés dans un beau petit parc. Son directeur – je pense qu’ils sont très amis - a confié à l’extravagant Omar Souto – personnage s’il en est, dont j’ai déjà parlé – l’aménagement d’une partie du parc. Le résultat est plutôt surprenant : une navigation à vue entre le profane et le sacré, un humour décapant et un zest de notre Facteur Cheval !!


Monsieur le Directeur



Les toilettes ne manquent pas de grandeur...



Le bar



Le baptème



Une visiteuse fatiguée..


Un certain Jésus...

mardi 18 septembre 2007



Le jacaranda de la Praça Cruzeiro

dimanche 16 septembre 2007

PIRENOPOLIS

Fondée par des chercheurs d’or portugais en 1727, le lieu, à cette époque appelé Minas de Nossa Senhora de Rosario de Meio Ponte, puis Meio Ponte, ne prit le nom de Pirenópolis qu’en 1890, en référence à nos Pyrénées. En effet, une petite chaîne montagneuse ceinture la ville.

Pirénopolis sut habilement survivre au tarissement de l’or, au milieu du XIXème siècle en se reconvertissant dans l’agriculture, le commerce et la culture d’un coton d’excellente qualité qu’elle exportait vers la Grande-Bretagne.

Assoupie dans les premières décades du XXème siècle, la petite cité reprit vie avec la création de Goiânia (à 130 kms) et de Brasilia, à une centaine de km, dont ses mines de quartz contribuèrent à la construction de ces deux villes.

De nos jours, Pirenópolis attire énormément de touristes, séduits par ses petites maisons aux couleurs pimpantes, ses petits restaurants typiques, ses « pousadas » (hôtels) fleuris et par les dizaines de chutes d’eau de ses environs. Beaucoup de résidences secondaires où les gens de Brasilia et de Goiânia viennent passer leurs fins de semaines.

J’oubliais ! La ville s’est spécialisée dans la survivance de la Volkswagen : des coccinelles de toutes les couleurs brinqueballent sur les rues en pierre foulées jadis par les chercheurs d’or…



samedi 15 septembre 2007


Mercredi dernier, 12 septembre, nous avons fait une escapade de quelques heures à Brasilia pour assister au vernissage des gravures de Didier Randot à l'Alliance Française de Brasilia. Assistance nombreuse et intéressée par le travail de notre ami, buffet sympathique et animation musicale de qualité par une jeune et ravissante flutiste de l'orchestre symphonique de Brasilia.

le 14 septembre, nous étions invités à la réception des fêtes de l'Indépendance des pays d'Amérique Centrale..... mais nous avons (diplomatiquement, naturellement!) déclaré forfaits.
Deux fois Brasilia (c'est-à-dire 800kms) en deux jours, la coupe était pleine!!!


Alliance Française de Brasilia,
le 12 septembre 2007.
Didier Randot (au centre) durant le vernissage de l'exposition de ses gravures

Alliance Française de Brasilia, le 12 septembre 2007
Vernissage de l'expostion des gravures de Didier Randot.

jeudi 13 septembre 2007

mercredi 12 septembre 2007


Dans l'atelier de notre ami brésilien le peintre Fogaça G.
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Le peintre (Fogaça), le graveur (Didier Randot, de passage à Goiânia), le poète (Yvan Avena)

mardi 11 septembre 2007







Sur le chemin du retour de l'expédition "jabuticaba" (voir plus bas), cette maison a attiré mon regard. Ici, pas d' "architecte des bâtiments" pour brimer la fantaisie des constructeurs!!!

lundi 10 septembre 2007

Le jabuticaba

La semaine dernière, nous avons été invités à déguster, directement sur l'arbre, le jabuticaba.
Ce curieux fruit à la peau très épaisse et à la pulpe blanche et savoureuse, a la particularité de pousser directement sur les tronc et les branches de son arbre. Nos amis brésiliens en sont très friands, d'autant que le temps du jabuticaba est comme celui de nos cerises : il est bien court...

Le 24 juillet dernier, je parlais de mes deux agaves qui s'étaient mis à monter vers le ciel.
A ce jour, ils continuent peu à peu leur floraison, nous offrant des gros pompons jaunes vif


lundi 3 septembre 2007

Vendredi 31 août, escapade d'une journée à Brasilia.

Un ami arrivant de France pour présenter une exposition à l'Alliance Française de la capitale fédérale, départ de Goiânia à 5 H 30 pour être à l'arrivée de son vol, à 9 H 30 (on s'est d'ailleurs ratés, mais fort heureusement la charmante Pascale, directrice de l'A.F. a récupéré l'ami Didier). Tout s'est fort heureusement terminé devant un café et des croissants...

Le soleil s'est montré plus paresseux que moi car, lui, ne s'est levé qu'à 6 H 20!!!

dimanche 2 septembre 2007