vendredi 29 juin 2012

TRAVAUX

La semaine dernière, travaux de peinture des murs extérieurs et des portes et grilles d’entrées de la maison, indispensables à la fin de chaque saison des pluies.

Notre vieille boîte aux lettres, certainement fondue à la fin du 19ème siècle, a profité d’une couche de peinture. L’occasion de la photographier car la partie la plus ouvragée est habituellement cachée derrière la palissade...

mercredi 27 juin 2012

SCAPIN

Longue pause due à des misères informatiques !

La reprise de contact se fera par SCAPIN. Ses propriétaires, une maison d’édition de Londres avec laquelle nous entretenons depuis peu d’excellentes relations, m’ ont précisé à l’appui de la photo : S'il pouvait raconter toutes les quarantaines, toutes les soutes d'avion qu'il a connues.... Scapin est en effet natif de Hong-Kong  et a  vécu également en Malaisie, en France et maintenant en  Grande Bretagne.
Bien sûr, étant donné son  âge  vénérable (18 ans),  SCAPIN emploie  la plupart de son temps à dormir, rêvant sans doute à sa longue vie de grand voyageur! Oui, dommage qu'il ne puisse pas nous en faire profiter, à travers un blog, par exemple!!

mardi 19 juin 2012

Les goûts et les couleurs....

Je sais que le chic est une notion très relative.
Mais ce "Très chic" là m'a laissée assez dubitative!

samedi 16 juin 2012

COZINHA (2)


Amateurs de "peixe na telha" dans un restaurant du coin..

A part le très fameux « peixe na telha » la grande spécialité du coin, j’ai relevé quelques plats qui m’ont paru attrayants, au moins par leur appellation !
Arroz Maria Isabel : viande séchée et salée, riz
Chica doida (la fille folle) : maïs, saucisse, fromage frais, bacon, piment etc.. A noter - que le mot « chica » n’est pas portugais mais espagnol (un emprunt aux Argentins voisins ?) et que la « folie » de ce plat est proportionnelle à la quantité de piment qu’il contient !!
Arroz-de-puta-pobre (riz de putain pauvre). La tradition orale prétend que ce plat (riz et viande) vient des bordels où il était confectionné avec les restes de viande. Une autre version du plat a gagné le nom plus sophistiqué de « arroz-de-puta-rica » (elle est devenue riche !)..
Costeletas de capivara (côtelette de capybara, le plus gros rongeur de la planète qui peut atteindre 60 kg.)
Bolo-espera-marido. J’ai cru comprendre “gateau dans l’attente du mari”. Peut-être faut-il prévoir aussi le rouleau à pâtisserie s’il s’attarde trop !!
Noté dans les recettes de poisson : un plat à base de piranha (aïe ! attention aux doigts !), panquecas de ovos de tartaruga (crêpes aux oeufs de tortue), arraia « à la francesa » (raie à la française ?), lesdites raies fréquentant les eaux du fleuve Tocantins traversant tout l’Etat de Goiâs, etc...
En résumé, Bariani Ortêncio offre, dans la dernière édition de son livre de 2008, plus de 1.100 plats à la gourmandise de ses lecteurs, dont 121 recettes pour le manioc et 167 pour le maïs....

jeudi 14 juin 2012

MASCOTTE

Aujourd’hui je vous présente Mascotte. J’ai fait sa connaissance (virtuelle) grâce à Ana, une amie uruguayenne, demeurant à Sâo Paulo. Invitée chez l’un de ses amis, un homme d’affaires français, la photo de cette blanche créature nous a été transmise assortie d’une invitation à déjeuner chez le maître de Mascotte, si nous passons un jour à Sâo Paulo. Que voici un compatriote bien aimable...Merci Arnaud...et Ana. A l'évidence, Mascotte a trouvé un hâvre de paix dans la mégapole brésilienne (11.250.000 habitants)!

lundi 11 juin 2012

COZINHA

L’année dernière, on nous a apporté ce livre qui nous a été dédicacé très chaleureusement par son auteur... que nous ne connaissons pas... L’ouvrage est en fait un excercice d’admiration envers une personnalité culturelle de Goiânia,  Bariani Ortêncio. Ecrivain, folkloriste, historien, compositeur, défenseur inconditionnel de sa région d’adoption (il est né dans l’Etat de Sâo Paulo) . Ce grand presque nonagénaire à l’oeil vif et à la démarche assurée, s’est notamment intéressé à la cuisine de Goiânia. Il est d’ailleurs le co-inventeur d’un des plats les plus réputés de la région, le « peixe na telha »(1) : il a jadis mis au point la tuile, fermée aux deux extrémités, dans laquelle est servi ce plat ! Son livre, dont la première édition parut en 1962, a été réédité 5 fois. Dans cette partie du Brésil, les matières premières ne manquent pas pour mitonner une cuisine riche, variée, et savoureuse : céréales, légumes frais et secs, fruits, poissons d’eau douce, etc...en n’oubliant pas une des principales activités de la région, l’élevage de bovins et de poulets.
(1) Poisson d’eau douce, tomates, oignons, poivrons, lait de coco, crême
fraiche, etc.. .

vendredi 8 juin 2012

C'EST LE PIED!!

Charlie a l'habitude de boire directement au robinet (qu'il n'a d'ailleurs jamais appris à ouvrir et à fermer!). Depuis peu, il a une nouvelle tocade : il vient boire sur le tapis de ma salle d'eau!

mercredi 6 juin 2012

VISITE

Avant-hier soir, vers 19 heures 30, coup de téléphone.de Rossana Jardim (voir le 8 janvier) :
- J’aimerais bien te faire une petite visite ?
- Avec plaisir, quand tu veux...
- Maintenant, si c’est possible car je suis devant ta porte !
Une arrivée aussi inopinée et tardive est rare à Goiânia. Mais je n’ai rien contre cette improvision, bien au contraire... Quelques minutes plus tard, nous papotons sur la terrasse devant un verre de rosé bien frais. Elle est très fière de raconter qu’elle revient de Paris où elle a été hébergée pendant une semaine  par une amie brésilienne journaliste.  Elle a été effarée par les files d’attente devant le Musée du Louvre et le Palais d’Orsay qu’elle est allée visiter.
Rendez-vous en août lors de sa prochaine exposition au Musée d’Art de Goiânia.

dimanche 3 juin 2012

ROSE BONBON

J'ai retrouvé ces deux photographies que j'ai prises lors de mon séjour en novembre dernier dans l'Etat du Parana :