Mayas v/s la boulangère

En procédant à du rangement, l’époux vient de retrouver un dossier qu’il m’a aussitôt remis d’un air entendu ! C’est vrai que l’histoire mérite d’être contée.

Durant notre séjour à Lectoure, nous empruntions souvent une charmante route touristique appelée « route des bastides et des castelnaux ».(1)

Grâce à une bonne relation de Bassoues,  l’une de ces bastides,  s’organisa le  montage d’une exposition de nos tissages mayas  du Guatemala dans la Tour du 14^ème siècle. Cet éditifice imposant nous parut  propice à abriter pendant un été une partie de notre collection
Le projet était sur les rails. Anne-Marie, notre intermédiaire, amena à la maison une petite délégation des édiles de la municipalité.  Nous sommes tombés d'accord sur les modalités : je pouvais commencer à faire le tri de ce que nous allions exposer. Yvan se chargea du projet d'affiche et d'une petit catalogue. Mais.... (à suivre)

(1) Dans le sud-ouest, les bastides et les castelnaux sont des villages fortifiés bâtis entre les 11^ème et 14^ème siècles.

Sorvete

J'ai profité que l'époux était chez le coiffeur (en fait il s'agit de Elida, NOTRE coiffeuse dont il est le seul client masculin!) pour aller me réapprovisionner chez le glacier voisin.
Le plus difficile dans cette opération est de choisir entre la quarantaine de parfums offerts à notre convoitise : aux classiques chocolat, vanille, pistache, citron, fraises, café; s'ajoutent  les fruits  du "terroir" :  açai, jabuticaba, cajou, coco maracuja, etc...
Voici une des trois boîtes
Environ 1 k 1/2 de "sorvete" (prononcer sorveti!)  pour 25 réals (un peu plus de 8 euros).

de Buenos Aires...

Personne n’est libre. Même les oiseaux sont enchaînés au ciel

Bob Dylan, chanteur, compositeur et poète (1941)

Je ne connais rien de plus idiot que de mourir dans un accident d’automobile.

Albert Camus, écrivain françois, Prix Nobel de Littérature en 1957, décédé dans un accident de voiture le 4/1/1960

Je suis un tel adepte de la théorie du silence que je pourrais en parler pendant des heures.

Georges Bernard Shaw, écrivain irlandais (1856/1950)

Extraits de “Ñ”, supplément culturel du quotidien argentin "Clarin"

Rua 94

J'ignore si le panneau interdit de stationner au sol ou de grimper dans l'arbre!

 

Quelques mètres plus loin...
Photos prises la semaine dernière dans la Rua Dr. Olinto Menso Pereira, ou, pour faire plus simple, rua 94!

Vernissage

Un petit groupe d'artistes plastiques de Goiânia (nous en connaissons certains), va exposer dans une galerie du Marais.

J'ai beaucoup de doutes   et de la peine pour les artistes quant à la période choisie par le galeriste : qui va aller à un vernissage un 15 août à Paris ?

Fête des Pères (au Brésil)

Le deuxième dimanche d'août est célébrée au Brésil la Fête des Pères.
Double fête pour l'époux dont la date d'anniversaire tombait cette semaine.
Aussi notre voisine est arrivée ce matin avec cette corbeille qui lui était destinée et que j'ai photographiée devant  mon azalée qui est en pleine floraison....

 

 

 

Até mais, l'Artiste...

Je pense que beaucoup de mes compatriotes ont été émus par le décès  de Gerorges Moustaki. Bien sûr, on se souvient tous du « Métèque »...

J’aime également beaucoup, sur un rythme de bossa-nova,   « Les eaux de mars ».   Les dernières strophes de la chanson sont interprêtées en brésilien par Moustaki, car les paroles et la musique ont été  écrites et composées par deux grands artistes brésiliens,  Vinicius de Moraês (1913/1980) et Tom Jobim ((1927/1994). Ce dernier est notamment l’un des pères de la bossa-nova.  J’ajoute que les deux  compères  sont les auteurs de nombreuses chansons, dont la fameuse « Fille d’Ipanema ». Mais oui ! vous connaissez !

Souvenirs, souvenirs....

Quand nous avions la galerie à Antibes, Monique,  journaliste à Nice-Matin, fréquentait assidûment   Art Club, et écrivait beaucoup d’articles sur nos expositions. Notre vie errante nous a séparés :  même si nous ne nous sommes pas revus depuis bientôt 35 ans, nous n’avons  néanmoins pas perdu le contact.
Monique fut particulièrement affectée  par la disparition de Moustaki qu’elle connaissait de longue date et m’a envoyé cette photo prise au début des années 70.  

Parc-art!

Photographié dans le petit parc que j'ai traversé ce matin pour aller boire le café chez  l'un de nos amis.

Un homme de fer

Une amie française demeurant à Bordeaux actuellement, vient de m'envoyer cette très belle photo d'une sculpture du Catalan Jaume Plensa.

 

Le 13 août 2010, j'ai publié sur ce blog une photo qu'avait prise notre fils d'une oeuvre  monumentale du même sculpteur installée sur l'emplacement de l'ancien chantier naval du port d'Antibes.