mercredi 30 mars 2016

Elsa et Lili (suite du 21 février)












Revenons à nos deux  insoumises.

Belles, cultivées, audacieuses, Lili et sa cadette Elsa furent des précurseurs (sseuses ?) du combat mené quelques décennies plus tard par Mme Weil, le MLF et autres organisations. Je n’en veux pour preuve, par exemple, que le parfait ménage à trois composé de Lili, son mari et le poète Wladimir Maiakovski. Cette harmonie, qui dura plusieurs années, ne fut détruite que par le suicide du poète.


Elsa et Lili. Au second plan, Maiakovski et Ossip Brik, (l'amant et le mari de Lili) et Boris Pasternak.


Ces dames, l’une à Moscou, l’autre à Paris, attirèrent dans leurs filets toute l’élite de l’époque : écrivains, poètes, peintres, musiciens, architectes, danseurs, etc.. et ce souvent par pure curiosité intellectuelle, mais pas toujours !!

Le déroulement de ces vies hors du commun se lit avec beaucoup de jubilation. L’auteur de l’ouvrage, en homme chevaleresque, ne porte aucun jugement, même si parfois la morale et le comportement de ses héroïnes laissent parfois à désirer. Il laisse le lecteur tirer ses propres conclusions.
  
Ela Triolet et Lili Brik, les sœurs insoumises, par Jean-Noël Liaut (Robert Laffont)

samedi 26 mars 2016

Escapade à Brasilia



La semaine dernière, l’arrivée vers 8 h 30 à l’entrée de la capitale brésilienne nous a permis de goûter aux joies du pare-choc contre pare-choc ! J’avais un peu oublié ce plaisir depuis mon arrivée à Goiânia !


Quoiqu’il en soit, cela m’a permis, en longeant ) 5 km/h le parc zoologique, d’apercevoir deux éléphants, une girafe et un fauve que je n’ai pu identifier mais qui ressemblait bigrement au  gros minet ci-dessous, pensionnaire du zoo.




Une recherche m’a permis de savoir que le zoo veille sur un autre animal, un peu particulier, un tatou-boule,  appelé ici «Tatu-bola ».  Cette petite bête, qu’on ne trouve qu’au Brésil,  a le pouvoir de se transformer en véritable ballon en cas de danger. 

 Cette aptitude fûtée ne lui a pas permis d’échapper à son principal prédateur, l’homme,  qui  le met – ou plutôt qui le mettait car sa chasse est maintenant interdite -   à la casserole. Victime également de la destruction de son milieu ambiant, le gentil tatou-boule est en voie d’extinction. Afin d’attirer l’attention des populations sur sa sauvegarde,  il  fut choisi comme mascotte de la Coupe du Monde de foot-ball 2014... ce qui na’ pas porté chance à l’équipe brésilienne qui fut éliminée en demi-finale...


mercredi 23 mars 2016

Pas si bête !

Whisky-chat est prudent et ne veut pas s'enrhumer : il  préfère s'installer derrière le ventilateur !

dimanche 20 mars 2016

Rayons roses

 Vendredi dernier sur la route de retour de Brasilia à Goiânia.
J'avais entendu parler du "rayon vert", mais les rayons roses m'étaient inconnus !

dimanche 13 mars 2016

Couleurs du Guatemala



Mon amie Noëlle, demeurant dans le sud-ouest de la France et que j’ai connue, ainsi que son mari, au Guatemala, a publié il y a quelques jours, comme elle le fait de temps à autre, des photographies de femmes mayas revêtues de leurs huipils (blouses) et de leur corte (jupes) traditionnels.

J’ai retrouvé dans un tiroir ce vêtement, exécuté par une couturière de Guatemala.  Pour ce faire, je n’avais pas voulu  « sacrifier » un huipil de ma collection qui était déja répertoriée mais je suis allée au marché acheter le premier huipil qui était en vente.

A cette époque,  le couturier  KENZO avait une correspondante à Guatemala, qui lui envoyait régulièrement des tissages destinés également à être découpés pour confectionner des vêtements de sa collection.

Inutile de préciser que je n’ai guère l’occasion ici de porter mon « pull-huipil »....