samedi 30 décembre 2017

Effervescence culturelle du mois de décembre



Sortie de deux livres publiés par les Editions Ricochette (portées à bout de bras par ma copine Céline).

 Les deux évênements ont lieu dans  le  très agréable café-librairie : Livraria Paleavrar.


De la partie caféteria, la vue est imprenable sur se secteur de la ville.


 



8 décembre : BOB DYLAN, A libertad que canta,  par Daniel Lins

L’auteur se présente (excusez-moi du peu !) comme philosophe, sociologue (diplômé de l’Université Paris VII), psychanaliste, professeur et écrivain franco-brésilen. Ouf !

Nul doute qu’avec un tel bagage Bob Dylan doit être décortiqué en profondeur.... Je vous dirai ça, si un jour j’ai le courage d’entamer ce 
pavé....





 
16 décembre « LUQUINIANAS », par Eugênia Fraietta, illustré par Jader de Melo.

Ne me demandez pas la traduction du titre : je n’en sais fichtre rien ! Peut-être un néologisme d’Eugênia à partir du prénom de son fils Luca puisque son ouvrage nous livre les conversations avec son petit garçon.
Très mignon et divertissantes illustrations. 


jeudi 28 décembre 2017

C'est le mien !

Whisky veille jalousement sur son arbre de Noël personnel !



mardi 26 décembre 2017

Effervescence culturelle du mois de décembre (4)



Jeudi 22 décembre, 20 H 30 – Fondation Niemeyer – Palais de la Musique
« Carmen » de notre Bizet national.
Ce  n’était pas l’opéra comique mais l’intégrale de la musique et des chœurs.
La blonde Denise Freitas  n’avait pas franchement le look de la célèbre et volage Carmencita mais plutôt celui de la Walkyrie ! Mais elle a compensé son handicap par sa très belle voix.
La salle était comble et les derniers arrivants ont dû rester debout ou camper 
sur les marches de l’escalier central. J’ai admiré la patience du public et les ovations saluant la fin du spectacle, surtout si l’on considère que l’oeuvre était chantée en français : à part   une Française, un professeur de l’Alliance Française rencontrés  à l’entrée, et  moi (qui la connaît pratiquement par cœur !) je doute que beaucoup de spectateurs aient compris les insolences et les provocations de Carmen, le désespoir de Don José et les rodomontades d’Escamillo... J’ajoute quand même qu’une brochure  avec la traduction en portugais avait été prévue.

Pour ma part, j’ai passé une excellente soirée.

 La première interprête de "Carmen", Célestine Galli-Marié. (3 mars 1875)


Nota 1 : ma version personnelle : le véritable assassin n’es pas Don José   zigouillant  sa belle tzigane qui l’a bien cherché, mais Escamillo  trucidant des animaux qui ne lui ont rien fait ! (sans oublier tous les crétins qui l’acclament)....

Nota 2 : L’entrée au Palais de la Musique est gratuite.


lundi 25 décembre 2017

Féliz Natal

Difficile de penser qu'aujourd'hui c'est Noël...






































Ici, les vieux dictons français sont pris en défaut  : Nous avons un Noël au balcon mais nous n'aurons jamais Pâques aux tisons!

jeudi 21 décembre 2017

Le vétérinaire, le chat et la coccinelle



 Il y a deux semaines, Whisky était malade. Son vétérinaire habituel étant en vacances,  un remplaçant arrive à la maison,  recommandé par une amie. Impossible d’examiner mon félin auxquels il reste encore assez de forces pour protester toutes griffes dehors. Le sympathique vét’ ne manque pas d’humour :
 
-Au téléphone, vous m’avez dit que c’était un chat, pas un « onça » (jaguar)!
Il me propose de l’emmener dans sa clinique où il pourra faire son diagnostic sous calmants.Voilà donc Whisky « internado » comme on dit ici, expression qui fait plutôt penser à un asile psychiatrique !
Deux jours plus tard, j’attends le retour de l’interné. Il avait en fait un gros problème de dents, ce qui l’empêchait de se nourrir.
Mon chat est un peu snob ; il revint à la maison en voiture de collection :  une vénérable coccinelle, un tantinet cabossée à l’avant mais toujours très vaillante !

mardi 19 décembre 2017

Effervescence culturelle du mois de décembre (3)



Dimanche 10 décembre – 9 H 30 – Nouvel appel de Beth :  « à 11 H,  il y a un concert à la Fondation Niemeyer. Tu viens ? » 
Nous re-voici à Niemeyer, cette fois au Palais de la Musique.
La première partie du programme ne nous enchante guère : Iannis XENAKIS (je préfère les écrits de sa veuve, Françoise que la musique de son défunt mari...), et une autre pièce dans le même style composée – 50 ans après celle de Xenakis -  par une Brésilienne, Michelle Agnes.
L’œuvre maîtresse de ce concert était le « Sacre du Printemps » que Stravinsky composa il y a plus de cent ans et qui fut présenté pour la première fois en 1913 au Théâtre des Champs-Elysées. 
Dommage que «sacre» à Goiânia ne fut pas dansé. Mais les fantômes de Nijinski, de Maurice Béjart et de Pina Bausch flottaient dans l’air et il suffisait d’un peu d’imagination pour les voir bondir.....

samedi 16 décembre 2017

Effervescence culturelle du mois de décembre (2)



Samedi 9 décembre – 9 H. 
Appel de  mon amie Elisabeth Caldeira Brito (dite Beth) qui propose de m’emmener à l’inauguration de l’exposition consacrée à Nazero CONFALONI à la Fondation Niemeyer.

Nous avons beaucoup de difficultés à pénétrer dans le Musée : à l’entrée,  il y a « café de manha » avec diverses douceurs comestibles. Nul Brésilien ne peut résister à cela !

Le commissaire de l’exposition est  une très bonne relation, PX Silveira, animateur culturel.
 








Le Père chouchou de la bonne société  catholique de Goiânia, contrairement à ce qu’on nous montre habituellement, ne s’est pas contenté de peinture religieuse. Il a eu ses périodes : 
Familiale



Abstraite

Impressionniste « à la Van Gogh »

Et même profane !