Etre "mode" ou non !

Le spécialiste des jardins dans l’émission “Télé matin”, Philippe Colignon, nous a expliqué gravement ce matin, ce qui est « tendance » et « mode » en ce moment pour les plantes d’intérieur.  Exit les plantes TOUTE VERTES : sous peine de passer pour un ringard, il  vous faut absolument privilégier les plantes vertes ET blanches (elles « éclairent » votre salon)  ou, à la rigueur, les espèces très colorées comme le croton, par exemple. Et de nous montrer les exemples retenus.

Ouf !  Je suis dans le vent : j’ai tout en magasin. Pardon, dans mes deux petits jardins !

 Par contre, je fais la pige à M. Colignon : il n'a pas montré celle-ci :

BONNE BOUFFE / MALBOUFFE

1) BONNE BOUFFE

Mon repas-maison de dimanche dernier :


 Filet de porc à la sauce aigre-douce, garni de purée pommes de terre/courgettes/carottes, haricots mange-tout  et verts (frais) flageolets (boîte) et riz.

2) MALBOUFFE

Traduit en français cela donne :

Sorte de saucisson (salame), de type italien, produit  importé d'Espagne !

Le résultat  est parfaitement dégueu ! 

Salé à outrance, on doit faire preuve de beaucoup d'imagination pour retrouver le moindre petit goût de saucisson..

Je ne peux que regretter qu’au cours de ce curieux périple Italie/Espagne/Brésil/Goiânia, le paquet ne  soit pas passé par la France : Lyon, par exemple pour s’imprégner un peu de la divine Rosette !!

CE MATIN

Premiers rayons du soleil sur la table de la salle à manger

Premier repas de Maya

Premier café  (cake fait maison)

ESCONDE ESCONDE

MAYA joue à cache-cache (esconde esconde au Brésil).

Bon, sa planque n'est pas terrible mais il faut lui pardonner car elle en est toujours au stade de la découverte (prudente) des lieux : elle débute !

L'ange vénitien

J’ai reçu  il y a une quinzaine de jours un courrier d’une amie de longue date.

Josette peint, depuis toujours, de délicieux tableaux naïfs et voici la carte dont elle s’est servie pour m’écrire.

Anoter que ladite a mis deux mois pour parvenir à Goiânia. Décidément,  le vieux système  qui consistait à écrire, à apposer un timbre et à mettre le tout dans une boîte qu’on appelait « boîte aux lettres »(1) est bien passé ; comme m’a dit un jour un Enarque inspiré à propos de ce je sais plus quoi  « il est frappé d’obsolescence technologique »...

(1)  ou à se rendre dans une officine spécialisée appelée "bureau de poste" où,  après une longue attente, on se retrouvait devant  une dame souvent grincheuse !

Derrière les grilles du quartier (suite)

Certes,  il y a beaucoup de fleurs....

.... mais également des toutous mécontents !

PEGGY

Pour qui s’intéresse un tantinet à l’art plastique du  20me siècle cet ouvrage ne lui apprendra rien de bien nouveau  sur le sujet...

Ce fut une vie tumultueuse pour cette héritière du puissant groupe américain, fondé par Meyer Guggenheim, d’origine juive allemande, qui émigra aux U.S.A. au 19^ème siècle.

Le papa de Peggy fut l’un de ces gentlemen  en smoking, qui sombrèrent dignement  avec le Titanic, en fumant un cigare et en buvant leur dernier cognac (ou brandy ?).

Dotée d’une confortable rente à sa majorité, Peggy s’éclata, se maria, trompa allègrement son mari et ses amants successifs !  Après quelques années, elle commença à s’intéresser à l’art plastique de son temps. Ce qui lui permit de continuer à jouer de son corps,  qui était très beau, semble-t-il mais surmonté d’un visage doté d’un nez en patate (les chirurgiens esthétiques brésiliens n’étaient pas encore dans la course !), et elle épousa même l’un des « grands » (pour moi) de son époque Marx Ernst.

L’un de nos regrets, avec Yvan, était de n’avoir jamais été à New York visiter la fondation Guggenheim....

Le Chat de mars

Mon calendrier « Le Chat » de Philippe Geluck

Mars 2018

Titre : Dessine-moi  um bouton, 2016,  acrylique sur toile 100 x 100 cm

Légende  de l’auteur :

« Il paraît que Roy Lichtenstein n’a jamais mis les pieds au Liechtenstein et que Basquiat ne s’est jamais rendu au Pays basque ». 

Robert Dupont, critique d’art amateur.